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Arbres et espaces verts urbains: du chercheur au gestionnaire (2003)

Arbres et espaces verts urbains: du chercheur au gestionnaire 

A.BOUKROUTE (Ed.), Proceedings

Département de Biologie, Faculté des Sciences, Laboratoire d’Amélioration et de Production Végétales, Oujda, Maroc

Faisant suite à des rencontres internationales organisées dans le domaine du végétal en milieu urbain, notamment le colloque international sur « la plante dans la ville » (novembre 1996, Angers, France), le symposium international sur « la santé de l’arbre urbain » (septembre 1997, Paris, France) et le symposium international sur « la santé de la plante en horticulture urbaine » (mai 2000, Braunschweig, Allemagne), le colloque international intitulé « Arbre et Espaces verts urbains: du chercheur au gestionnaire » (septembre 2001, Oujda, Maroc) s’inscrit dans le cadre de l’ouverture de l’université, en particulier marocaine, sur son environnement socio-économique.

L’objectif essentiel du colloque international d’Oujda est de réunir chercheurs et professionnels qui s’intéressent à l’arbre en ville et aux espaces verts, d’une manière générale, afin de débattre cette importante thématique, d’évaluer la situation actuelle et de faire des propositions dans le but de choisir les meilleures solutions à l’avenir.

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Maladies parasitaires et infectieuses du dromadaire (2000)

Maladies parasitaires et infectieuses du dromadaire

A. DAKKAK (Ed.), Proceedings

Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II, Rabat, Maroc

Grâce à l’importance de ses capacités d’adaptation à des candi lions environ ne mentales très difficiles, le dromadaire possède un fort pouvoir de valorisation des maigres ressources végétales de son écosystème. Avec une population de près de cinq millions de têtes dans la région englobant les cinq pays du Maghreb, l’Égypte et le Soudan, le dromadaire constitue un important atout pour la production de protéines animales de qualité. De ce fait, il représente une source de revenus significative pour les pasteurs. De plus, l’engouement pour le tourisme exotique aidant, le dromadaire devient de plus en plus un élément déterminant pour le développement de ce secteur dans de nombreuses zones de la région.
Malgré cette importance socio-économique, le dromadaire n’a pas encore reçu toute l’attention qu’il mérite en matière de lutte contre les dominantes pathologiques. L’exploitation de cet animal reste, en effet, tributaire des progrès réalisés en ce qui concerne la maîtrise de la situation sanitaire. Dans ce domaine, les maladies parasitaires et infectieuses causent encore des préjudices importants aux productions camelines.

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Gestion environnementale de l’agriculture (2005)

 

Gestion environnementale de l’agriculture

B. SOUDI, C. DEBOUCHE, L. KRIM, M. VANOVERSTRAETEN et M. ETTALIBI

Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II, Rabat, Maroc

Face au besoin alimentaire croissant de la population, des efforts importants ont été déployés pour l’amélioration de la production agricole via l’intensification culturale, l’exploitation maximale des ressources en sols et la mobilisation des réserves en eau. Toutefois, ce processus a généré des phénomènes de détérioration de la qualité des ressources, à l’encontre du concept d’agriculture durable qui consiste à produire pour nourrir tout en préservant les ressources pour les générations futures.

Dans cet esprit, le nouveau concept de gestion environnementale de l’agriculture se base sur la maîtrise des flux de matières et d’énergie entre les différentes composantes de l’agro-système et entre celui-ci et son environnement physique et socio-économique. Pratiquement la gestion environnementale consiste à mettre en place des outils qui permettent aux gestionnaires d’optimiser les intrants et les extrants pour un objectif double: l’économie via la rationalisation de l’usage des facteurs de production et la préservation de l’environnement.

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صـندوق الـتـنـمـية الـفـلاحـية فـي خدمة الإسـتـثـمـارات الـفـلاحـية – طبعة 2024

الـمـسـاعـــدات الـمـالـيـة للـدولــة لـتـشـجـيـع الإسـتـثـمـارات فـي الـقـطـاع الـفـلاحـي

دعم الشباب في الاستثمارات المنجزة على أراضي الجماعات السلالية
التهيئة المائية للاستغلالات الزراعية
تكثيف الإنتاج الحيواني
البذور والغراسة
تجهيز الضيعات الفلاحية
وحدات التثمين
إنعاش وتنويع الصادرات الفلاحية
الإعانات الخاصة بمشاريع التجميع

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Fonds de Développement Agricole – Édition 2024

FONDS DE DÉVELOPPEMENT AGRICOLE

Les Aides Financières de l’État pour la promotion des investissements agricoles

 

  • Aides aux jeunes pour investissements agricoles réalisés sur les terres collectives
  • Aménagements Hydro-agricoles des propriétés agricoles
  • Equipement des exploitations agricoles
  • Unités de valorisation
  • Promotion et diversification des exportations
  • Aides aux projets d’agrégation

 

Télécharger (Site du Ministère de l’Agriculture)

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Plantes aromatiques et médicinales: atouts du secteur et exigences pour une valorisation durable (2005)

Plantes aromatiques et médicinales

B. BENJILALI et S. ZRIRA,  Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II, Rabat, Maroc

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L’Homme a connu et utilisé les ressources naturelles en plantes aromatiques et médicinales (PAM) depuis la haute antiquité. Toutes les grandes civilisations anciennes (chinoise, égyptienne, babylonienne, grecque, romaine, etc.) ont eu recours aux PAM pour leurs propriétés médicinales, parfumantes et/ou aromatisantes des aliments sans parler des utilisations rituelles. La distillation des PAM aurait été connue depuis 5000 ans par les populations de la vallée de l’Indus (Pakistan d’aujourd’hui). Cette technique, mise au point et développée par Ibn Sina à la fin du dixième siècle, a été ensuite transférée en Europe par les croisés et via l’Andalousie.

Depuis le dix-septième siècle, ce secteur n’a cessé de se développer, de se diversifier et d’améliorer ses technologies, en Europe d’abord, et dans le monde entier, ensuite.

Malgré cette histoire, longue et riche, le présent ouvrage nous montre que le secteur des PAM suscite encore une grande activité de recherche-développement à travers le monde. Ce secteur intéresse aussi bien les pays développés que les pays en voie de développement. Les premiers espèrent l’utiliser pour la conversion d’espaces à productions agricoles excédentaires sur le marché et/ou pour la mise en valeur de régions peu propices aux grandes productions classiques. Les pays en voie de développement y trouvent un moyen non seulement de diversifier leurs productions agricoles nationales, mais aussi de valoriser au mieux les espaces fragiles à potentialités économiques limitées et d’offrir à certaines populations des zones marginales (régions semi-arides, montagneuses, …) des sources de revenus particulièrement intéressantes. Le secteur des PAM ne cesse de se diversifier par ses productions agricoles, mais aussi par les technologies qu’il met en œuvre, par les produits élaborés ainsi que par les marchés de destination. Par ailleurs, son marché en croissance continue est en profonde restructuration, la qualité étant de plus en plus une exigence.

De par sa situation géographique, le Maroc constitue un cadre naturel tout à fait original offrant une gamme complète de bioclimats méditerranéens favorisant une flore riche et variée avec un endémisme très marqué. Sur les 5000 espèces et sous espèces végétales répertoriées en Afrique du Nord, 4200 existent au Maroc contre 2100 en Égypte, 1800 en Libye, 2200 en Tunisie, 3500 en Algérie et 1100 en Mauritanie. Sur les 4200 espèces et sous-espèces du Maroc, 900 sont endémiques du pays soit 21 %. Le Maroc occupe ainsi la première place parmi les pays du Sud de la Méditerranée pour sa richesse en plantes endémiques. Les PAM au Maroc n’échappent pas à cette règle. Les espèces et sous-espèces potentiellement aromatiques et/ou médicinales sont estimées à plusieurs centaines (500 environ) dont un grand nombre est endémique.

Depuis des siècles, le Maroc utilise les PAM pour leurs propriétés médicinales, parfumantes et aromatiques. Bien que vulgarisée dans le monde arabo-musulman à partir de la fin du dixième siècle, la technologie de distillation a été particulièrement conservée au Maroc. Pour la préparation, entre autres, des essences et eaux de rose et de bigaradier, les appareils de distillation familiaux sont bien connus.

Au Maroc, l’industrialisation du secteur des PAM a commencé durant les années 20 du siècle dernier sous l’impulsion de pionniers français. À partir de l’indépendance, le secteur a commencé à être investi par des nationaux. Il existe aujourd’hui des dizaines d’entreprises intervenant dans le domaine. Le chiffre d’affaires global du secteur à l’export (316 millions de Dh/an en moyenne à la fin des années 90) est en progression continue. Cependant, les potentialités réelles du secteur sont loin d’être entièrement connues, encore moins valorisées.

Une activité de recherche-développement sur la ressource naturelle en plantes aromatiques et médicinales, dans les établissements universitaires marocains, s’est accélérée depuis les années 70.

Dans cet ouvrage, les professeurs Bachir BENJILALI et Saâdia ZRIRA nous font état d’une partie des résultats accumulés à l’Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II sur le sujet. Les auteurs ont cherché à appréhender plusieurs questions de grande importance: potentialités du secteur des PAM, possibilités réelles de valorisation, impacts économiques et socio-économiques, exigences scientifiques, techniques et économiques, maîtrise des technologies et procédés utilisés.

En plus de ses données scientifiques et techniques, cet ouvrage, bien réalisé par Actes Éditions, présente aussi un intérêt pratique. À ce propos, les auteurs en faisant référence à l’expérience marocaine dans le domaine des PAM n’hésitent pas à mettre en relief des encadrés pour faciliter la tâche à tous ceux et celles qui veulent se lancer dans ce créneau. Ce travail constitue le meilleur moyen pour valoriser les ressources naturelles du secteur et de créer de la richesse au profit des populations généralement marginalisées.

Résultat d’une synthèse cohérente entre les connaissances scientifiques et techniques de base, d’une part, et d’une analyse des aspects économiques, socio-économiques, technologiques et des préoccupations de gestion durable des ressources naturelles, d’autre part, ce livre, le premier de son genre au Maroc, est une preuve, si besoin est, des potentialités nationales en matière de recherche scientifique pour le développement économique.

Ce livre sera très utile non seulement aux développeurs, mais également à tout intervenant dans le secteur aussi bien au Maroc qu’ailleurs. Les jeunes chercheurs y trouveront, sans aucun doute, les éléments de base d’une stratégie et/ou programme de recherche dans le domaine des PAM.

Mohand LAENSER

Ministre de l’Agriculture, du Développement Rural et des Pêches Maritimes

Productions fourragères et systèmes animaux (1991)

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Productions fourragères et systèmes animaux

Fouad GUESSOUS

Pendant très longtemps, un élevage de type pastoral a permis au Maroc de tirer profit des grands espaces naturels incultes pour couvrir les besoins en protéines animales de sa population. Avec l’extension des surfaces cultivées aux dépens des parcours, le développement de l’irrigation et l’expansion démographique rapide, un autre mode de production associant exploitation agricole et troupeau a pu progressivement se développer.

L’intensification des nouveaux systèmes de production, ainsi mis en place, passait par le développement des cultures fourragères, elles seules capables de fournir en quantités suffisantes des aliments de qualité qui puissent répondre aux exigences nutritionnelles des animaux a fortes potentialités.

Historiquement, l’agriculteur marocain ne s’intéressait pas ou très peu aux fourrages cultivés. Progressivement, il a pu prendre conscience de leur importance sur les plans agronomique (maintien de la fertilité des sols, lutte contre les mauvaises herbes, …) et zootechnique.

C’est la raison pour laquelle il était nécessaire que le Ministère de l’Agriculture et de la Réforme Agraire mène une réflexion de fond sur le secteur des fourrages cultivés et sur le rôle qu’il est appelé à jouer dans le futur pour permettre au pays d’atteindre l’autosuffisance alimentaire en matière de produits animaux. Un programme de développement a moyen terme devenait également indispensable.

La présente synthèse s’inscrit dans ce contexte. Elle cherche à dégager les grandes lignes d’un programme national de développement des cultures fourragères qui tiennent compte des perspectives d’évolution des systèmes animaux.

Ce travail, mené dans le cadre du projet MOR/87/001 par le Professeur F. GUESSOUS, a le mérite de s’appuyer sur des études régionales qui ont abordé cette problématique à l’échelle de régions bour ou irriguées.

Il a également le mérite d’avoir essayé de mener en parallèle la réflexion sur deux secteurs fortement interdépendants mais qui ont quelquefois tendance à s’oublier mutuellement.

Je voudrais à cette occasion remercier l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO) qui a apporté son aide financière pour la réalisation de cette étude. Mes remerciements vont également à toutes les équipes régionales qui ont contribué à ce travail.

Abdellatif RAMI

Directeur de la Production Végétale

L’élevage du mouton dans un pays à climat Méditerranéen (1990)

L’élevage du mouton dans un pays à climat méditerranéen

A. KABBALI et Y.M. BERGER (Eds)

Dans les systèmes agricoles de plusieurs régions du monde, le mouton représente une importante spéculation animale. Ses rôles au sein de l’exploitation en font un animal plus important dans les pays en développement que les statistiques nationales ne l ‘indiquent Ceci fut un élément détannisant pour que la 1ère action de recherche collaborative («Collaborative Research Support Program») (C.R.S.P.), financée par («Title XII of the 1975 U.S. Food Assistance Act») et dont l’objectif est d’aider les populations rurales des pays en voie de développement, ait été un projet concernant les ovins et les caprins.

Le projet «Petits Ruminants C.R.S.P» a depuis 1980, aidé et financé des recherches sur ces animaux en Asie, en Afrique et en Amérique latine. En plus de son important soutien aux activités de recherche liées h l’amélioration de la production, le C.R.S.P. a pris la responsabilité de rassembler et de présenter les résultats de ces recherches sous une forme facilement accessible aux petits exploitants, aux éleveurs et aux techniciens qui les encadrent.

Les moutons (et les chères) furent d’abord domestiqués en Asie de l’Est. Les conditions climatiques et géographiques ont favorisé leur expansion dans cette région ainsi que dans les pays du pourtour méditerranéen pendant des milliers d’années. Le cycle de production de ces espèces, caractérisé par une gestation et une lactation plus courtes que celles des bovins, leur permirent une meilleure adaptation aux parcours qui forment un élément important du calendrier alimentaire des ovins dans ces régions. Sans aucun doute, le nombre élevé et la productivité des moutons dans ces régions sont-ils étroitement liés à la préférence culturelle et religieuse que la population de ces régions porte à ces animaux. La combinaison de ces facteurs permit au mouton d’être une espèce animale prééminente et un facteur dominant des systèmes agricoles des pays méditerranéens.

Le C.R.S.P. entreprit, en 1981, avec l’Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II, un programme de recherche au Maroc, pays méditerranéen de grande tradition ovine. Ce programme fut conduit du côté américain par l’Université de Californie (Davis) avec la participation de l’Université du Missouri, de la Caroline du Nord et de l’Utah. La Californie est aussi une région de climat méditerranéen avec une importante production ovine. En 1986, la décision fut prise de développer un manuel de techniques de production ovine pour les pays à climat méditerranéen, basé sur les résultats de recherche du C.R.S.P. au Maroc et sur l’expérience des participants au programme au Maroc, en Californie et ailleurs. Ce manuel est destiné principalement aux personnes engagées dans des actions de vulgarisation et travaillant avec des éleveurs du système agro-pastoral.

Vingt-cinq chercheurs marocains de l’Institut et six chercheurs américains ont activement collaboré. Yves BERGER, qui a travaillé sur le programme du C.R.S.P. au Kenya et au Maroc, a assuré l’édition de ce travail avec Ahmed KABBALI de l’École Nationale d’Agriculture de Meknès. De nombreuses autres personnes, principalement de l’Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II, ont activement contribué à l’élaboration de ce document. Les versions anglaise et française ont pu être réalisées grâce aux efforts du SR-CRSP et des services de publications agricoles de l’Université de Californie et d’Actes – Éditions de l’Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II.

Bien entendu, ce manuel ne prétend pas apporter de réponses à toutes les questions posées par les utilisateurs. Il met l’accent sur un seul écosystème alors que de nombreux autres existent. Des contraintes de temps, de volume et de financement n’ont pas encore permis d’étendre la recherche et la documentation a d’autres pays, en dehors du Maroc.

Certaines informations (races, types d’aliments disponibles, etc.) peuvent ne pas concerner tous les pays méditerranéens. De nombreux principes de base, cependant, peuvent être utilisés tels quels avec peu de modifications.

Nous espérons que ce premier effort en stimulera d’autres pour augmenter, mettre à jour et adapter les informations de ce manuel afin que les éleveurs et les agents de vulgarisation aient entre leurs mains un document toujours meilleur. La mise en application de ces techniques peut accroître sensiblement la productivité de l’élevage ovin dans notre région et contribuer ainsi à l’amélioration de la qualité de la vie des personnes qui en dépendent.

 

Eric BRADFORD                                                Larbi FIRDAWCY

Professeur de Sciences Animales                 Secrétaire Général, Membre du comité directeur du C.R.S.P.

Université de Californie                                Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II

Davis, Californie                                              Rabat, Maroc

L’élevage du mouton dans un pays à climat méditerranéen

Le secteur des légumineuses alimentaires au Maroc (1992)

Le secteur des légumineuses alimentaires au Maroc (1992)

Le Ministère de l’Agriculture et de la Réforme Agraire (MARA) du Royaume du Maroc et le Ministère pour la Coopération Économique de l’Allemagne ont convenu de réaliser une étude sur la production, la consommation et les exportations des légumineuses alimentaires au Maroc. Elle a comme but de relancer le secteur si bien qu’elle doit aboutir à un programme d’actions qui se veut cohérent, précis et réalisable. L’étude a été effectuée par un groupe mixte maroco-allemand en passant par trois étapes:

– élaboration de sept monographies sur les différents aspects du développement de ce secteur;

– définition d’hypothèses sur les actions possibles et test de ces hypothèses sur le terrain;

– détermination d’un programme d’action.

Le rapport de synthèse ci-après englobe les principaux résultats de chaque étape en mettant toutefois l’accent sur les possibilités de développement du secteur et le programme d’action.

Chapitre 1: Situation actuelle et possibilités de développement

Chapitre 2: Économie du secteur des légumineuses alimentaires au Maroc

Chapitre 3: Marché internationaux

Chapitre 4: Techniques de production des légumineuses alimentaires

Chapitre 5: Maladies et adventices

Chapitre 6: Ravageurs des légumineuses alimentaires au Maroc

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